Il y a des changements importants qui bouleversent la routine d’une vie. L’adolescence avec ses problèmes hormonaux, la vie professionnelle avec ses responsabilités, la vieillesse avec l’apparition du vieillissement… Mais aussi la vie étudiante. Entre nouveau cadre de vie, changement de rythme, pression des études et pression sociale, c’est parfois beaucoup à encaisser d’un coup. Savoir prendre soin de soi, du choix d’une assurance maladie à la planification de sa journée, est essentiel. Comment s’organiser ?
La santé à l’université : pourquoi faut-il prendre soin de soi ?
Le passage à l’âge adulte et le saut dans le monde de l’université ne sont pas des choses naturelles pour tout le monde. C’est, après tout, une période de nombreux changements qui bousculent les habitudes. Certains étudiants se retrouvent d’abord éloignés de leur cercle familial. Sans cette structure, certains repères peuvent s’effacer et fragiliser l’individu. En prime, toutes les tâches quotidiennes sont désormais à faire seul, des courses à l’entretien de la maison, sans renoncer aux études.
Ce dernier point, cependant, jette encore des bâtons dans les roues. De nombreux élèves habitués au lycée depuis des années se sentent déstabilisés par les changements au niveau supérieur. Plus de liberté, trop de liberté, la pression des amphithéâtres, des cours qui vont parfois trop vite, parfois pas assez : bref, le rythme des études supérieures est trop lourd à supporter. En médecine, par exemple, une filière particulièrement connue pour sa difficulté, il est facile d’être submergé par toutes les exigences académiques et la pression des études.
Ajoutez à cela la pression sociale liée au fait de se faire des amis, d’entretenir un cercle d’amis au lycée et de jongler entre ses envies, ses études et son temps libre. Par conséquent, pour que cette transition vers une nouvelle étape de la vie se passe le mieux possible, les étudiants doivent réfléchir à certains éléments clés. En s’organisant ou en se fixant des priorités de manière efficace, ils peuvent trouver le bon équilibre. Pour être du bon côté, il est conseillé d’être bien assuré et bien encadré.
Pourquoi souscrire une assurance maladie pour les étudiants ?
Comme tout le monde, les étudiants peuvent avoir des problèmes de santé. Ceux-ci peuvent aller de la grippe saisonnière aux bras cassés après une partie de rugby trépidante. Mais d’autres problèmes, comme des problèmes dentaires ou optiques, ne sont pas non plus à exclure. Au lieu de s’inquiéter de la procédure à suivre et des remboursements en cas de petit accident, l’étudiant doit se calmer. Comme tout le monde en France, les étudiants sont couverts par la sécurité sociale.
À l’époque, il existait une assurance maladie spéciale pour les étudiants. Aujourd’hui, ils sont inclus dans le régime général de l’assurance maladie. Cependant, rien ne les empêche, comme toute autre personne, de compléter leur circuit médical par une assurance complémentaire. En effet, pour les étudiants qui ont besoin de lunettes, par exemple, celle-ci est parfois fortement recommandée. Ils peuvent notamment bénéficier de l’offre 100% Santé, qui leur garantit des options sans reste à charge pour de nombreux soins.
Trouver une bonne mutuelle est donc l’un des premiers défis pour ces jeunes adultes. En fonction du profil de l’assuré, des experts en assurances complémentaires peuvent conseiller et affiner les propositions pour une bonne couverture. En effet, obtenir la meilleure offre au meilleur prix qui correspond à leur budget est souvent une priorité pour les jeunes. S’ils sont bien assurés, ils peuvent planifier leur vie d’étudiant sans trop se soucier des remboursements médicaux et de soins.
Vie étudiante : comment donner la priorité à votre santé mentale ?
L’une des principales priorités des jeunes qui entrent à l’université est la santé mentale. Selon les études, c’est l’un des problèmes dont souffrent le plus les jeunes Français. Et les circonstances ne se sont pas du tout améliorées au cours des deux dernières années d’études. La faute à la crise sanitaire, qui éloigne de nombreux jeunes de leur domicile ou de leur environnement social. Les étudiants sont souvent livrés à eux-mêmes, plongés dans leurs études grâce à des cours en ligne et confinés dans de petits appartements, ce dont ils souffrent énormément.
Sports, temps pour soi : organisez votre propre vie étudiante pour faire une pause.
Qu’ils soient ou non touchés par la crise sanitaire, c’est une question qu’ils doivent aborder. Comme nous l’avons mentionné plus haut, l’entrée dans la vie étudiante s’accompagne de beaucoup de pression. En plus de cela, elle intervient à un moment où le jeune adulte commence à affirmer sa personnalité dans un environnement plus actif. Se concentrer sur sa santé mentale est donc un impératif qu’il doit appliquer. Cela peut se faire de plusieurs façons. Pour certains, le simple fait de prendre du temps pour soi est suffisant. Une bonne organisation fait alors toute la différence.
Pour faire respirer l’esprit et s’éloigner de la pression de la vie étudiante, de nombreux jeunes trouvent dans le sport une forme de bien-être. Les activités sportives sont en tout cas vivement recommandées pour ceux qui en ont la possibilité. C’est un moyen d’assurer une bonne dynamique du corps et de consommer de l’énergie. Avec une activité régulière, il est plus facile de réguler certains troubles, notamment les troubles alimentaires ou du sommeil. Cependant, chacun trouve son propre moyen de se soulager de sa charge mentale. Le recours à des séances d’art, de danse ou de théâtre, par exemple, peut aussi apporter la touche thérapeutique souhaitée.
Gérer la santé mentale et la vie étudiante avec un spécialiste
Pour d’autres, une véritable aide et une prise en charge professionnelle sont nécessaires. Parfois à long terme, par le biais de structures ou de spécialistes, mais aussi ponctuellement. Cette nécessité de faire de la santé mentale une priorité a été prise en compte par le gouvernement. Depuis le 1er février 2021, le gouvernement propose un bon de soutien aux jeunes qui ont besoin de consulter un médecin.
Cette aide couvre trois consultations gratuites chez un psychologue ou un psychiatre, à condition que l’orientation suive le cycle de soins traditionnel. C’est-à-dire que l’orientation est faite par un médecin traditionnel, généralement le médecin traitant ou le médecin du collège. Dans les deux cas, le psychiatre est remboursé à 70 % du BRSS. En effet, contrairement au psychologue, il s’agit d’un spécialiste qui suit le circuit de soins proposé par la sécurité sociale.